Je suis un chat
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Jeune bédéiste malgré son âge – il est né en 1958 -, Sadri Khiari est autodidacte. Ses études, il les a faites dans un tout autre domaine que le dessin : la science politique. Tunisien, il a toujours vécu en Tunisie, en dehors de quelques années passées en France. Depuis le milieu des années 1990 et jusqu’à récemment, il s’est consacré professionnellement à la peinture sous verre. Il travaille aujourd’hui comme chroniqueur au journal tunisien Nawaat pour lequel il réalise également des strips et des dessins d’actualité. Il fait aussi des illustrations pour différents médias. Son travail est publié dans LAB619, un magazine tunisien de bande dessinée, ou directement sur le net, notamment sur son site personnel.
Il développe actuellement deux projets. Le premier, intitulé Vive la révolution, est un essai politique dessiné consacré à certaines problématiques soulevées par les événements tunisiens depuis janvier 2011. Une partie en a été publiée sur le site d’une revue française de science politique. Le second s’intitule Tombes. Il traite de la mélancolie postrévolutionnaire et a pour personnages principaux les sépultures d’un certain nombre de grands militants et intellectuels, tunisiens ou autre, dont le destin lui semble particulièrement représentatif. Un chapitre en a été déjà publié par LAB619.
Il développe actuellement deux projets. Le premier, intitulé Vive la révolution, est un essai politique dessiné consacré à certaines problématiques soulevées par les événements tunisiens depuis janvier 2011. Une partie en a été publiée sur le site d’une revue française de science politique. Le second s’intitule Tombes. Il traite de la mélancolie postrévolutionnaire et a pour personnages principaux les sépultures d’un certain nombre de grands militants et intellectuels, tunisiens ou autre, dont le destin lui semble particulièrement représentatif. Un chapitre en a été déjà publié par LAB619.
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