[dropcap]H[/dropcap]ier soir, pendant la fête d’anniversaire de Mathilde, Golo racontait à Giorgia Marras l’ambiance si particulière de la maison qu’il a construit à Louxor. Il évoquait ces archéologues du monde entier qui s’y croisent. Et pour conclure, il lance « C’est le trou-du-cul du monde, mais les gens y viennent de partout ! ». Je les fais rire tous les deux en répondant « ça me rappelle quelque chose ! ».

edito-001Pourquoi ? Pourquoi ? Mais parce qu’à l’image de Louxor, les 3 (4 ?) fondateurs de Marsam habitent un « trou-du-cul du monde » où se croisent des auteurs du monde entier : Angoulême,  petite et léthargique ville du sud-ouest de la France.

Et je trouve ça amusant, cette destinée de Golo qui par 2 fois dans sa vie s’installe dans des « trous-du-cul » qui partagent cette étrange particularité d’attirer autant de nationalités !

Alors, c’est l’occasion de vous expliquer pourquoi Marsam est « comme ça ». C’est-à-dire ? Et bien « avec des langues dedans », sans véritablement être « multilingue » au sens du Web. Simplement parce que ce site est à l’image du site physique, réel, géographique, ou habitent et se croisent la plupart des auteurs. Et ce qui se passe et se passera dans Marsam est à l’image de ce qu’ils y vivent, où chacun arrive avec sa langue et où tous se débrouillent avec ça, comme ça vient, selon des affinités transcendant les origines et les cultures.

Marsam est à l’image même de ce que vivent les gens qui le font : hyperlocal (les fondateurs habitent à 30 mètres les uns des autres) et résolument international !

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