/ Note préliminaire et sans doute assez peu consultée, oui, ici c’est un feuilleton . . . à suivre pour sûr. . . et . . . (tout cela conditionné et occasionné par l’interpellation que me fit le fils de Dio) :

[dropcap]S[/dropcap]i le lecteur pointilleux veut à tout prix vérifier l’exactitude des faits rapportés, il pourra aller voir ce passage qui remonte au 30 septembre 2013 à 20 heures 03, le Nouvel Obs devenu l’Obs faisant foi, oú il est fait scrupuleusement mention d’une première et terrible observation à ce sujet, sensible s’il en est, ce sujet des évangélistes retrouvés noyés au large du cap Norfeu. Bien sûr, il faut d’abord aller retrouver une note perdue dans les catacombes blogales et refroidies du  » 1, place . . . etc . . . »,
. . . mais revenons aux faits et résumons pour ne pas décourager les courageux curieux arrivant ici (sachant qu’ici rien n’est facilité ni épargné comme peine et tracas, pauvre et piégé lecteur volontaire et bénévole qui se trouve toutefois maintenant « averti »,

/ (deuxième parenthèse, en aparté) Bien qu’ils n’aient rien a voir avec l’ancien ou le nouveau Testament, ni d’ailleurs avec quelque Livre sacré ou consacré, ls étaient connus de tous et respectés sinon admirés.
. . . . Voilà ce que j’aurais dû commencer a dire au sujet des évangélistes de notre affaire si Marco Brac, le digne et très reconnaissable fils de Dio, ne m’avait interrompu par un Ho ! Ho ! prononcé la main tendue et redressée paume vers moi en signe non équivoque pour me stopper dans mes affirmations.
. . . Et en effet, l’affaire du sphinx de Split, rapportée par Dio lui-même qui la tenait de sa mère adoptive – une combattante engagée dés la première heure au côté des Partisans et témoin en général irréprochable – pourrait paraître assez difficilement crédible, il faut l’avouer. Si on n’ajoutait que cette mise en scène de Dio bébé naissant, placé sur le dos du petit sphinx noir, elle ne l’avait d’abord vécue en rêve puis réalisée avec ses camarades un jour où la place du palais entourée de colonnes était vide et Dio déjà âgé de deux mois. Oui, cette légende familiale réellement mise en scène – déjà – doit être effectivement replacée dans ce contexte rêvé puis reconstitué. /

/ Vous comprendrez peut-être mes scrupules à tenter de raconter fidèlement cette aventure si vous admettez que me voilà entouré de raconteurs d’histoires exceptionnels, qui eux ont des crayons, des plumes et des pinceaux, finalement des sortes de scalpels de la matière, de la chair et du trait qui leur permettent d’être et aussi les contraignent à jouer tout à fait précis et se montrer responsables de ce dont ils rendent compte alors que je ne dispose que de mots que je dicte à ma tablette et qui pourraient sembler dans l’obscurité de l’écran où ils sont projetés et tout a coup éclairés, tout à coup bien flous. / Voilà ma dernière remarque du jour./

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