N.D.L.R. : Voici le 2e épisode du détournement-hommage que Théo Vilacèque va présenter pour son diplôme national d’art plastique (DNAP) en juin 2016 !
Théo Vilacèque est encore aujourd’hui en troisième année à l’école d’art de Perpignan, et publie ici ce jeu de collage texte-image qui s’inscrit dans une démarche artistique conceptuelle et non d’éditions papier. Les scans sans retouche que vous découvrez ne sont donc qu’un témoignage de ce qui sera présenté à son diplôme : un livre-objet dont la vocation est d’être exposé.
Théo Vilacèque naquit du côté de la frontière espagnole. Enfant des années 90 il commence à dessiner par nécessité .
Souffrant de pulsations infernales à la main, extra douloureuse, le remède fut le dessin .
il y a quelques années il perdit sa truie, Rita, un animal magnifique qui mourut noyé dans la fosse sceptique dans le jardin.
Etudiant aux beaux arts, il n’existe pas un jour où sa main ne défonce ou ne défigure une feuille. Le remède.
Dans sa tête, un crayon, un trou noir et des hamburgers… Tout sauf la mort d’un cochon.